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« Il en est plus d’un qui, sur un mode ou sur un autre, parlera de tradition à propos de Jean-Lin Descamps. L’hommage est recevable mais, loin de tout recours à l’académisme, la parenté dont pourrait se réclamer ce peintre est celle des Corot, des Seurat, des Cézanne. Celle des artistes qui, devant le spectacle du monde s’interrogent au tréfonds mais avec modestie : « que sais-je ? », « pourquoi tout cela est-il si beau ? » ou encore « lumière que me veux-tu ?… C’est à la tradition hautaine de l’humilité qu’appartient jean-Lin Descamps. » – X. Amoudru