« Peu d’artistes sont aussi secrets que Jean-Lin Descamps, aussi discrets, sincères, pudiques, voire mystérieux, à coup sûr mystiques. Il est entré dans l’art comme d’autres entrent en religion. Avec l’air de s’excuser de son talent, ce talent qu’il porte à un point de perfection rare, et dont bien sûr il se déclare toujours insatisfait. »