Jean-Lin Descamps est mal à l’aise quand on l’arrache à sa méditation, parler de lui l’indispose, exposer lui parait proche de l’impudeur. Il est vrai que son travail est une somme d’observations intimes, de souvenirs et d’expériences si intérieures qu’elles relèvent de ce qu’il y a de vraiment « privé » dans la vie d’un artiste.